Minggu, 04 November 2012

Téléchargement Gratuit Voltaire : Correspondance, tome 5, Janvier 1758 - Septembre 1760, by Voltaire

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Détails sur le produit

Cuir/luxe: 1712 pages

Editeur : Gallimard; Édition : First Thus (8 avril 1980)

Collection : Bibliothèque de la Pléiade

Langue : Français

ISBN-10: 2070109526

ISBN-13: 978-2070109524

Dimensions du produit:

18 x 11,9 x 4 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

1 commentaire client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

299.718 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Le présent volume comprend 1257 lettres postées par Voltaire en tout juste 1000 jours, de janvier 1758 à septembre 1760. Écrites de sa main ou simplement dictées à son jeune secrétaire, et quelquefois en italien ou en anglais, ces missives expédiées jusqu’à Moscou, ce sont, comme il l’écrit sans façon au cardinal de Bernis, secrétaire d’État aux affaires étrangères, « les bavarderies du vieux Suisse ».Désormais plus très jeune (« un pauvre vieux pigeon »), dans sa languissante vieillesse, il se plaint de sa caducité et de ses continuelles infirmités. Pourtant, assure-t-il aussi, « à soixante et six ans on a encore du sang dans les veines » (sa nièce, qui était également sa compagne, confie même que sa pétulance augmente avec l’âge). « J’ai les passions vives, écrit-il à son fidèle ami le comte d’Argental, je suis un vieillard bien vert. »Signant souvent ses lettres de façon amusante (le dégraissé Voltaire ; le petit Suisse V., etc.), ou mystérieuse (« Tuus V.), ou ne les signant pas (« Il faut dérouter les curieux »), il se prétend « le plus maigre Suisse des treize cantons ». « Rampant d’une tanière dans l’autre », jusqu’en 1758 il passe l’hiver à Lausanne (« il est doux d’être paisible au bord du lac pendant qu’on s’égorge »), et à la belle saison jouit de son agréable propriété des Délices, près de Genève (« nous oublions nos petits mésaises dans une jolie maison avec de la musique, des amis, des livres, des jardins agréables et un bon cuisinier.»).À la fin de l’année 1758, il achète au président de Brosses, un magistrat dijonnais, les domaines de Tournay et de Ferney. C'est ainsi qu’il pourra écrire à son ami Thieriot :« J’ai quatre pattes au lieu de deux. Un pied à Lausanne dans une très belle maison pour l’hiver, un pied aux Délices près de Genève où la bonne compagnie vient me voir, voilà pour les pieds de devant. Ceux de derrière sont à Ferney, et dans la comté de Tournay que j’ai achetée par bail amphytéotique du président De Brosses. »La mise en valeur de ses terres et la construction du château de Ferney occuperont dès lors une part importante de son temps (« J’amuse ma vieillesse. Il n’y a guère de moments vides ») :« Je suis devenu plus grand cultivateur et plus grand architecte que jamais. »« Je m’y prends tard pour acquérir et pour bâtir, mais il faut des amusements à la vieillesse et à la philosophie. »« Je me ruine, je le sais bien, mais je m’amuse. Je joue avec la vie. »Tout ceci coûte effectivement fort cher, le riche spéculateur que Voltaire est devenu en convient : « J’ai quatre-vingts personnes et dix-huit chevaux à nourrir ».Dans le rôle dévolu à l’abbé Bonaventure Moussinot du temps de Cirey, c’est son correspondant Jean-Robert Tronchin qui se trouve désormais en charge de ce qu’il appelle joliment son petit temporel. Mission d’autant plus délicate que Versailles subit un certain nombre de revers (« Quand les malheurs de la France finiront-ils ? »), et que les effets publics se déprécient. Jonglant avec les lettres de change, la loterie, les actions, les obligations, et des affaires passablement embrouillées en France, en Allemagne, en Espagne et jusqu’à Pondichéry, où il a investi massivement (« C’est surtout pour mon Pondichéry que je tremble »), Voltaire laisse à Tronchin carte blanche : « Vendez, ne vendez point, troquez, ne troquez point, placez, ne placez point, vous ferez toujours très bien et je m’en rapporte entièrement à vous. »Au mois de juillet 1759, il lui écrit :« Le temps est triste et je suis malade. J’ai besoin que vous me consoliez en m’apprenant, si cela ne vous dérange pas, l’état de mes petites affaires. (…) Je ne sais plus trop où j’en suis. »À l’instar de Moussinot, Tronchin se voit également confier d’interminables listes de courses : des fusils, des tapis, de la toile, du sucre, du café, du vin, de la casse pour la constipation, des flambeaux, des bobèches, cent livres de savon, des aigrettes jaunes pour les chevaux, « deux milliers de clous dorés pour clouer du drap vert à des rayons de bibliothèque », deux « lave-cul nommés bidets avec lesquels une dame peut se donner un lavement sans montrer son derrière à personne »…Loin de Paris (« cette grande villasse »), c’est un Voltaire heureux que nous voyons vivre entre le Jura et les Alpes :« J’aime fort ce petit coin du monde, c’est comme le paradis terrestre, un jardin entouré des montagnes. »« Allez vous faire foutre avec votre Paris, je ne l’aime point, je ne l’ai jamais aimé. »« Je suis devenu laboureur, vigneron et berger. Cela vaut cent fois mieux que d’être à Paris homme de lettres. »« Le rôle d’un homme de lettres y est trop ridicule et celui de philosophe trop dangereux. »Reste au lecteur à découvrir les choses sérieuses, c’est-à -dire les lettres à Frédéric II (« ce fripon de roi de Prusse »), à d’Alembert ou à Madame d’Épinay, sur l’Encyclopédie (« Il se fait une révolution dans les esprits », note-t-il le 15 janvier 1758), la religion (« Je recommande l’infâme à votre sainte haine », écrit-il à Madame d’Épinay), la guerre et la paix, alors que se déchirent les nations (les Russes sont à Kœnigsberg et ils occuperont bientôt Berlin).Professant que la terre a plus besoin d’être cultivée que d’être ensanglantée, Voltaire rêve d’un armistice éternel entre les hommes. Non sans angoisse, quand la guerre dévaste l’Allemagne, dans une lettre à la duchesse de Saxe-Gotha (le 25 janvier 1759) il lance cette question qui aujourd'hui encore reste sans réponse : « Mais quand la rage d’exterminer les hommes se refroidira-t-elle ? »Sa sagesse ne va pas sans un égoïsme manifeste :« Laissons aller le monde comme il va. »« Il faut rire de tout. »Son rire vire parfois au ricanement, sa versatilité à la duplicité, sa philosophie à l’inconséquence. Mais la vivacité de Voltaire, son intelligence, son inlassable activité, son goût du bonheur, et bien sûr l’incomparable élégance de sa langue ne laissent pas d’être admirables, comme son insatiable appétit de liberté.Telle fut en effet la grande affaire de sa vie :« Je me suis avisé de devenir un être entièrement libre. »

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